Version,           issue du système de diffusion de la famille Mac (Multiplexed Analogue           Components), qui a été l'une des premières à           être développée, avec le A et le C. Aujourd'hui, elle           est utilisée pour les liaisons professionnelles entre les organismes           de télévision Elle permet de véhiculer des signaux           audio et vidéo de haute qualité. Aucune chaîne destinée           au public n'utilise cette version du standard de diffusion Mac, par ailleurs           en voie d'avandon, au profit du numérique.
  
Auto-tuning           ou scan en anglais. Dans le vocabulaire relatif aux récepteurs           satellite, utilisé pour désigner le dispositif électronique,           qui, lors de la recherche et de la mémorisation des canaux diffusés           sur un satellite, permet de trouver automatiquement les principaux canaux           captés, soit, sur un satellite, par balayage des fréquences,           soit sur l'ensemble des satellites, par un balayage de l'arc des satellites,           puis des fréquences de chacun des satellites.
  
Technologie           appliquée aux tubes cathodiques permettant d'afficher 2 fois plus           de trame, afin de supprimer le scintillement de l'écran et diminuer           la fatigue visuelle. Sur un téléviseur non équipé           le balayage est de 50 Hz.
    
Balayage           d'une image TV en deux trames successives (lignes impaires puis paires)           permettant de diviser par deux la bande passante video par rapport au           balayage progressif de même résolution.
    
Méthode           d'entrelacement des lignes qui balaye l'image en, (1 image=2 trames) utilisé           par les standards TV (PAL,SECAM,NTSC) et certains formats TVHD. Le PAL/SECAM           est équivalent à 625 lignes par images, ce qui est équivalent           à 2 X312,5 lignes par trame. Le NTSC est équivalent à           525 lignes par image, ce qui est équivalent à 2 X 262,5           par trame. A l'inverse, les sources informatiques fonctionnent généralement           en mode non entrelacé, c'est à dire en blayage progressif           (1 image = 1 trame)
    
Analyse en           une seule "passe" de toutes les lignes d'une image video dans           leur ordre numérique croissant. Utilisé notamment pour les           moniteurs informatiques, et sur les dernières générations           de lecteur de DVD. Egalement appelé "Progressive Scan",           Il s'oppose au balayage de type "entrelacé".
    
Gamme de           fréquences comprises entre 3,7 et 4,2 GHz. La puissance d'émission,           qui lui est généralement associée, est relativement           faible, en comparaison avec la bande KU par exemple. Elle nécessite           donc des paraboles de grande taille pour sa réception et est particulièrement           développée en Afrique. 
    
Gamme de           fréquences comprises entre 11,7 et 12,5 GHz, subdivision de la           bande KU. Elle complète les bandes FSS et Télécom.
    
Combinaison           du signal vidéocomposite et des signaux audio en un seul signal,           brut, obtenu après démodulation et avant correction. Le           signal bande de base est délivré sur une sortie spécifique           du récepteur satellite, afin de répondre aux nécessités           de certains types de décodeurs ou décrypteurs.
    
Désigne           à tort une subdivision de la bande KU couvrant les fréquences           10,95 à 11,7 GHz, première portion utilisée en Europe           pour la télévision et la radio par satellite.
    
Gamme de           fréquences comprises entre 10,7 à 11,7 GHz. Elle est une           subdivision de la bande KU. Elle complète la bande DBS et la bande           Télécom.
    
Gamme de           fréquences exploitée par le tuner satellite, après           conversion par le LNB, allant de 950 à 2050, voire 2150 MHz. La           BIS est souvent utilisée dans la réception collective. On           parle alors de Fréquence intermédiaire ou FI (IF en anlais).           Comment calculer la fréquence d'entrée du tuner satellite           ( BIS), exprimée en Mhz ( en général de 950 Mhz à           2150 MHz) à partir d'une fréquence de diffusion satellite           exprimée en Ghz ? Il est indispensable de connaître la fréquence           exacte de l'oscillateur local du convertisseur utilisé. Par exemple           si il s'agit d'un convertisseur universel en bande Ku, il y a deux fréquences           pour les deux oscillateurs locaux utilisés : un pour la bande KU           "basse" à 9,750 Ghz, et l'autre pour la bande Ku "haute"           à 10,600 Ghz. Connaissant la fréquence d'émission           satellite, celle qui est publiés dans nos "tableaux des satellites",           il suffit de soustraire de cette fréquence ( ex : 11,778 Ghz, pour           Planéte sur Astra) , la fréquence de l'oscillateur local           utilisé pour la bande "haute" ( ex : 10,600 Ghz) et de           supprimer la virgule...
	  11,778 GHz- 10,600 GHz = 1,178 GHz = 1178 MHz
    
Gamme de           fréquences comprenant plusieurs bandes, dont la bande KU et la           bande KA.
    
Gamme de           fréquences notamment utilisée pour la transmission de données.           Elle doit par exemple être exploitée à cette fin par           Astra (20-30 GHz), car elle permet la voie de retour.
    
Gamme utilisée           pour la télévision et la radio. Dans ce domaine, elle s'étend           de 10,70 à 12,75 GHz. Cette bande est la plus répandue en           Europe, du fait de la petite taille des paraboles nécesaires à           sa réception. Elle se subdivise en sous-bandes, Télécom,           DBS et autres appellations. On parle plus généralement aujourd'hui           de bandes basses (10,70 à 11,70 GHz) et haute (11,70 à 12,75           GHz).
    
Gamme de           fréquences notamment utilisée pour les communications mobiles           . Son application devrait également comprendre la radio numérique           (DAB). Une partie de cette bande, entre 2,5 et 2,7 GHz, est employée           dans de nombreux pays pour la diffusion MMDS.
    
La bande-passante           est la bande de fréquences audio qu'un appareil est capable de           restituer. De même, l'auditeur perçoit une bande de fréquence           qu'il est capable d'apprécier selon trois sous-bandes comprenant           des sons graves, des sons médiums et des sons aigus. La bande des           sons audibles s'étend de 16 Hz à 16 KHz. Dans un but de           simplification, on écrit souvent que la bande audiofréquence           s'étend de 20 Hz à 20 KHz. En rêgle général           un amplificateur possede une bande-passante du même ordre de grandeur.           Un caisson de grave possede lui une bande passante tres faible qui s'étend           la plupart du temps de 20 Hz à 200 Hz.
    
La bande           passante audio est la plage des fréquences utilisées par           l'information sonore. Une information est qualifiée de hi-fi lorsqu'elle           utilise l'intégralité des fréquences sonores de 20           Hertz à 20000 Hertz. La bande passante utilisée par le canal           Surround codé dans les pistes stéréo en Dolby Surround           n'est pas hi-fi. En effet elle utilise une bande passante de 1000 Hertz           à 7000 Hertz alors que celle utilisée par les canaux Surround           en Dolby Digital ou DTS est hi-fi, utilisant une bande passante de 20           Hertz à 20000 Hertz. Un caisson de basses travaille généralement           sur une bande passante allant de 20 Hertz à 200 Hertz.
    
Tout comme           pour l'audio, la notion de définition vidéo peut aussi s'exprimer           en fréquence: on parle de bande passante vidéo. Supposons           que l'on veuille obtenir 300 points visibles le long d'une ligne: il faut           pour cela allumer et éteindre 300 fois le spot le long de son parcours.           Pour le standard PAL à 625 lignes et 25 images seconde, cela donne:           300*625*25 = 4687500 allumages-extinctions ou encore une fréquence           de 4.7MHz. Pour le standard NTSC 525 lignes et 30 images secondes on obtient:           300*525*30 = 4725000 = 4.7MHz. On constate ainsi que les deux normes ont           pratiquement la même bande passante. Cela tient à ce que           les lignes sont de longueur très voisines et renouvelées           à des fréquences très proches (respectivement 15625Hz           et 15750Hz). Deuxième constatation: une image de définition           moyenne demande une bande passante de près de 5MHz tandis que le           son se contente de 20kHz. L'image video est donc très gourmande.
    
Type de fréquence           servant principalement pour les liaisons intercontinentales de télécommunications.
    
Gamme de           fréquences, comprise entre 12,5 à 12,7 GHz. Elle est une           subdivision de la bande KU. Elle se trouve dans la partie haute de la           portion de bande utilisée en télévision et radio.
    
Gamme réservée           à un usage militaire (7-8 GHz).
    
Voir Largeur           de bande
    
En référence           à l'orbite de certains satellites. Elle est généralement           circulaire. La position de ces satellites se situe à quelques centaines           de kilomètres d'altitude. Ils sont normalement destinés           à la téléphonie mobile.
    
Mot anglais           pour faisceau.
    
Abréviation           de l'expression anglaise Bit Error Rate. Taux d'erreur mesuré à           la réception d'une transmission numérique, indiquant le           niveau d'atténuation et/ou de perturbation de la puissance du signal.           Il mesure le nombre d'erreurs par données reçues. Sur mille           données transmises par exemple, il peut y avoir une erreur. En           moyenne, une mesure de la réception du signal au niveau de l'antenne           procure un taux d'erreur de 10-5 (une erreur pour cent mille données           transmises), voire 10-4 (une erreur pour dix mille informations envoyées).           Pour obtenir un bon signal sur le récepteur, la mesure idéale           est de 10-4, mais 10-3 (une erreur pour mille données transmises)           est acceptable. La différence entre l'erreur mesurée à           l'antenne et celle constatée au récepteur provient d'une           atténuation normale et naturelle de la puissance du signal, due           à la distance parcourue pour aller de l'une à l'autre. 10-3           est le seuil critique. Si, au récepteur, le taux d'erreur est supérieur           (10-2 par exemple, soit une information érronée pour cent           transmises), la réception est dégradée. C'est à           cette valeur qu'apparaît le rond rouge sur le Mediasat de Canal           par exemple, pour indiquer un défaut de réception. A 10-1           (une erreur pour dix informations transmises), c'est le carré rouge           qui prend le relais. La cause des perturbations est multiple: mauvais           pointage, accessoires inadaptés, etc.
    
Basses fréquences.           Par opposition à HF, qui concerne l'émission, la BF concerne           des signaux non modulés. Les signaux sonores véhiculés           par les câbles d'une chaîne Hi-Fi par exemple, sont dits BF,           de 20 à 20 000 Hz.
  
Mot anglais           désignant familièrement un satellite. Le terme a été           repris pour qualifier la nouvelle génération de satellites           Eutelsat, Hot Bird.
    
Voir Bande           Intermédiaire Satellite (BIS).
    
Voir Débit           binaire.
    
(Bayonnet           Nut Connect) Connecteur avec écrou à baïonnette.
    
La boucle           locale est la partie de la ligne téléphonique (paires de           cuivre) allant du répartiteur de l'opérateur téléphonique           jusqu'à la prise téléphonique de l'abonné.           Physiquement, il s'agit de tous les câbles urbains que l'on peut           voir dans les rues, des câbles souterrains et même de la paire           de fils arrivant chez l'usager. En France, la boucle locale est la propriété           de l'entreprise France Télécom. Jusqu'en 2004, tous les           abonnés à un service de téléphonie fixe ou           d'un accès à Internet de type ADSL devaient donc payer un           abonnement à France Télécom, quel que soit leur opérateur.           Mais désormais, les frais d'accès à la boucle locale           peuvent être payés directement à France Télécom           par l'opérateur de l'abonné dans les zones dites dégroupées           : on parle alors de dégroupage total. La boucle locale n'est pas           nécessairement physique: par exemple la Boucle Locale Radio (BLR)           permet de relier par ondes hertziennes les clients. Sur l'ensemble du           territoire français deux licences de BLR ont été           attribuées, France Télécom étant exclu de           cette attribution. Mais la frilosité des nouveaux opérateurs,           qui préfèrent le dégroupage, moins couteux en investissements,           n'a pas donné à cette technique le succés escompté. 
    
On parle de package en anglais. En télévision, désigne un ensemble de chaînes, diffusées et commercialisées sous la même bannière et dans un même pays. Il se divise généralement en bouquet de base ou basique, premier niveau d'accession aux programmes, comportant une dizaine, voire une vingtaine de chaînes ou plus, et d'options thématiques (ciména, sport, musique, etc.) ou de services (téléchargement, programmes à la carte, etc.) nécessitant un paiement supplémentaire.
En audio-vidéo. Elément pertubateurs affectant la qualité du signal, lors de son transport. Leur variation est fonction des caractéristiques du matériel de réception et des conditions de transport. Ils se traduisent par du souffle et de la distorsion dans le son et un décrochage de l'image, de la neige et des coupures de chrominance. En numérique, ils se caractérisent par une pixelisation de l'imagen des coupures et une dégradation du son. Voir aussi facteur.